Édition pour les Romands

Carrosserie Aeschlimann : ici, les horloges tournent tout à fait différemment

Fondée en 1971 par Hans Aeschlimann, alors âgé de 20 ans, l’entreprise « Carrosserie Aeschlimann » est aujourd’hui . . .

• Fondée en 1971 par Hans Aeschlimann, alors âgé de 20 ans, l’entreprise « Carrosserie Aeschlimann » est aujourd’hui . . . Fondée en 1971 par Hans Aeschlimann, alors âgé de 20 ans, l’entreprise « Carrosserie Aeschlimann » est aujourd’hui . . .
• . . . un généraliste modèle, qui agit toujours selon la devise « Qui n’avance pas, recule ». . . . un généraliste modèle, qui agit toujours selon la devise « Qui n’avance pas, recule ».
• Compétents et toujours aimables : Jessica Ribeiro et ses collègues de la réception accueillent les visiteurs . . . Compétents et toujours aimables : Jessica Ribeiro et ses collègues de la réception accueillent les visiteurs . . .
• . . . avec bienveillance. Ici, il s’agit (de g. à d.) de Fabrizio Vergari, d’Antonio Laterza et de Julian Hänni. . . . avec bienveillance. Ici, il s’agit (de g. à d.) de Fabrizio Vergari, d’Antonio Laterza et de Julian Hänni.
• Toujours au courant de l’état des commandes et des souhaits des clients (de g. à d.) : Bruno Gloor, Luigi Silletta. Toujours au courant de l’état des commandes et des souhaits des clients (de g. à d.) : Bruno Gloor, Luigi Silletta.
• Le « motel budget », géré par Nicole Beeler, la sœur d’Iwan Aeschlimann, se situe juste à côté de l’atelier de carrosserie. Le « motel budget », géré par Nicole Beeler, la sœur d’Iwan Aeschlimann, se situe juste à côté de l’atelier de carrosserie.
• La flotte de véhicules de l’entreprise de location dispose d’un vaste choix de modèles qui répond à tous les profils requis. La flotte de véhicules de l’entreprise de location dispose d’un vaste choix de modèles qui répond à tous les profils requis.
• 24 heures sur 24, 365 jours par an : le service de dépannage, avec ses huit employés et ses véhicules de secours, est disponible en . . . 24 heures sur 24, 365 jours par an : le service de dépannage, avec ses huit employés et ses véhicules de secours, est disponible en . . .
• . . . permanence. Même dans le hall de remorquage sur le site de l’entreprise, où les voitures accidentées attendent les vérifications juridiques et policières. . . . permanence. Même dans le hall de remorquage sur le site de l’entreprise, où les voitures accidentées attendent les vérifications juridiques et policières.
• Ils ont toujours à l’esprit le bien de leur entreprise : Hans Aeschlimann et son fils Jwan, qui dirige l’entreprise depuis 2010. Ils ont toujours à l’esprit le bien de leur entreprise : Hans Aeschlimann et son fils Jwan, qui dirige l’entreprise depuis 2010.
• 18 mètres de long, six de large, cinq de haut, cette cabine permet également de peindre des véhicules utilitaires et des poids lourds. 18 mètres de long, six de large, cinq de haut, cette cabine permet également de peindre des véhicules utilitaires et des poids lourds.
• Le seul portique de lavage de véhicules de la région : dans la « station de lavage » ouvert au public, même les véhicules utilitaires de 2,80 mètres de haut peuvent être nettoyés correctement. Le seul portique de lavage de véhicules de la région : dans la « station de lavage » ouvert au public, même les véhicules utilitaires de 2,80 mètres de haut peuvent être nettoyés correctement.
• Ne jurent que sur le vernis transparent et séchant à l’air « AC 24 » de Glasurit : Baskim Memeti (responsable tôlerie et peinture) et Sebastian Wyder de « BASF Coatings ». Ne jurent que sur le vernis transparent et séchant à l’air « AC 24 » de Glasurit : Baskim Memeti (responsable tôlerie et peinture) et Sebastian Wyder de « BASF Coatings ».
• Il faut des postes de préparation entièrement équipés : la « Carrosserie Aeschlimann » effectue chaque semaine jusqu’à 100 réparations de carrosseries. Il faut des postes de préparation entièrement équipés : la « Carrosserie Aeschlimann » effectue chaque semaine jusqu’à 100 réparations de carrosseries.
• Possibilités de diversification : si nécessaire, les camions peuvent également être peints dans le secteur réservé aux véhicules particulières, qui se trouve dans le bâtiment principal. Possibilités de diversification : si nécessaire, les camions peuvent également être peints dans le secteur réservé aux véhicules particulières, qui se trouve dans le bâtiment principal.
• Tout est de plain-pied : il y a trois cabines de peinture pour les voitures particulières. Ici, elles se déplacent latéralement sur des rails à travers le portail à gauche. Tout est de plain-pied : il y a trois cabines de peinture pour les voitures particulières. Ici, elles se déplacent latéralement sur des rails à travers le portail à gauche.
• « Réparer au lieu de remplacer » : ceux qui appliquent ce concept ont toujours besoin de machines prêtes à l’emploi . . . « Réparer au lieu de remplacer » : ceux qui appliquent ce concept ont toujours besoin de machines prêtes à l’emploi . . .
• . . . et « répertoriées » ainsi que des appareils, des outils et du matériel adéquats. . . . et « répertoriées » ainsi que des appareils, des outils et du matériel adéquats.
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Par Heinz Schneider (texte) et Dennis Mario Schneider (photos)

Dans le secteur de la carrosserie en Suisse, comme dans n’importe quel autre secteur industriel, il existe de nombreuses entreprises qui se concentrent exclusivement sur leur activité de base. Elles vivent de leurs affaires courantes, c’est-à-dire de tous les services qui s’offrent logiquement à elles, comme la réparation de carrosseries, la peinture et tout ce qui va avec. Et elles sont donc pleinement occupées.

Et puis, il y a celles que je qualifierais d’audacieuses ou d’hyperactives. Des entreprises dynamiques qui cherchent à se diversifier, qui veulent intégrer de nouveaux services dans leur activité et qui sont constamment à la recherche de possibilités d’amélioration et d’extension. Celles qui agissent toujours selon la devise « Qui n’avance pas, recule ».

La carrosserie Aeschlimann de Dällikon (ZH) fait clairement partie de cette deuxième catégorie. Fondée en 1971 par Hans Aeschlimann, alors âgé d’une vingtaine d’années, l’entreprise est aujourd’hui un généraliste qui se voue corps et âme à l’automobile et à ses possibilités de diversification annexes - ainsi qu’à quelques autres affaires.

Dans ce contexte, il convient de mentionner l’engagement de Hans Aeschlimann lorsqu’il lui a fallu dire adieu au vénérable et vétuste centre de formation interentreprises d’Effretikon et emprunter de nouvelles voies dans la formation des jeunes carrossiers. Ainsi, l’homme, aujourd’hui âgé de 74 ans, a joué un rôle déterminant dans le fait que les serruriers sur véhicules, les carrossiers-tôliers et les carrossiers-peintres puissent dorénavant suivre leurs cours interentreprises dans l’un des ateliers les plus modernes de Suisse, à savoir à l’Ecole technique suisse de Winterthour (STFW). Ce n’est d’ailleurs pas par hasard, car la formation initiale et continue est une priorité chez Aeschlimann. Jusqu’à ce jour, l’entreprise a formé plus de 120 apprentis et les a préparés à la vie professionnelle.

Revenons maintenant à la Carrosserie Aeschlimann AG, dirigée depuis 2010 par Jwan, le fils de Hans Aeschlimann. Une exploitation qui est devenue au fil du temps un « allrounder » avec une offre de service complète. Un exemple ? Pas de problème. Commençons par quatre ou cinq choses très courantes, par exemple le dépannage et le remorquage. Ce service est fourni pour le compte de la police, des compagnies d’assurance et des particuliers. Pour assurer à ces clients un service de qualité, huit employés sont sur la route ou disponibles sur appel 24 heures sur 24, 365 jours par an.

A cela s’ajoutent une station de lavage publique, une installation de recharge pour véhicules électriques accessible au public ainsi qu’un service de location de voitures avec une flotte de véhicules qui répond à tous les goûts et à tous les besoins. Et, cerise sur le gâteau : la société Aeschlimann possède dans son portefeuille différents biens immobiliers qui sont gérés et exploités par Yvonne, l’épouse d’Jwan Aeschlimann. En outre, on a appris avec étonnement que l’entreprise exploite, juste à côté de l’atelier de carrosserie, un « motel budget » qui est dirigé par la sœur Nicole Beeler.

Pas de doute : un atelier de carrosserie bien géré ne manque de rien. Sauf peut-être de l’espace. Mais la Carrosserie Aeschlimann en a aussi suffisamment. C’est pourquoi on trouve dans le hangar à remorques de la société de nombreuses voitures accidentées qui attendent que de toutes les vérifications juridiques et policières soient faites. Une procédure qui prend généralement beaucoup de temps. Lorsque toutes les vérifications nécessaires ont été effectuées, les véhicules sont réparés, idéalement par la Carrosserie Aeschlimann elle-même, ou finissent à la casse.

D’ailleurs, la commune a récemment a mis à disposition d’Jwan Aeschlimann un immense terrain à proximité immédiate de l’entreprise, en droit de superficie. Un nouveau hall y est actuellement en construction. Il abritera un « Auto-Spa », un centre de bien-être pour véhicules avec piste de lavage, stations d’aspirateurs, nettoyeurs de tapis et bien plus encore. A l’étage supérieur, un atelier moderne certifié Tesla sera aménagé.

Pour découvrir tout ce que la Carrosserie Aeschlimann a encore à offrir, veuillez consulter notre galerie de photos.