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Avec des restrictions: Les associations disent «Oui» aux «Swiss Skills»

Les associations disent «Oui» aux «Swiss Skills»

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Repoussé – le terme qui a le plus de chance de remporter le titre de «Gros mot de l’année 2020» – concerne bien-entendu également les «Swiss Skills». Cette compétition, qui devait avoir lieu du 9 au 13 septembre, a dû être reportée de deux ans pour les raisons bien connues du Virus de Corona. Malgré cela, des centaines de jeunes talents auront l’occasion de démontrer leurs compétences cette année encore. Les «Swiss Skills Championships 2020», qui incluent 60 professions différentes, seront organisés de manière décentralisée. Et pour les représentants d’une quarantaine de métiers, le concours nouvellement annoncé servira de qualification pour les «World Skills 2021» qui se tiendront à Shanghai (Chine).

Cette multitude de championnats des métiers est rendue possible grâce aux 29 associations professionnelles qui ont modifié leurs plans à court terme et qui organiseront les championnats aux conditions de l’OFSP, même sans l’infrastructure centralisée. A cet effet, et pour la plupart des professions, les associations peuvent avoir recours aux infrastructures existantes des centres de formation ou des entreprises de chaque branche. Les championnats des métiers de serruriers/ères sur véhicules CFC, des carrossiers/ères-peintres CFC et des carrossiers/ères-tôliers/ères CFC sont prévus pour la fin de l’automne 2020. Les détails sont actuellement à l’étude.

«Je tiens à remercier les responsables des associations professionnelles pour leur flexibilité. De par leur engagement en cette période difficile, ils envoient à la relève et à la formation professionnelle un signe important», déclare Reto Wyss, président du conseil de fondation de «Swiss Skills». Son siège fait tout ce qui est dans son pouvoir pour soutenir au mieux les associations, notamment en termes de communication, et pour contribuer ainsi à ce que les meilleurs professionnels suisses reçoivent également cette année la reconnaissance qu’ils méritent.

Rédaction: Margrit Balmer