Édition pour les Romands

CUI + Five Star appartiennent au passé, Repanet Suisse à l’avenir

Positifs, mais pas euphoriques: les membres de CUI et de Five Star récoltent des informations sur le réseau Repanet Suisse.

• Positifs, mais pas euphoriques: les membres de CUI et de Five Star récoltent des informations sur le réseau Repanet Suisse. Positifs, mais pas euphoriques: les membres de CUI et de Five Star récoltent des informations sur le réseau Repanet Suisse.
• Dans un exposé très détaillé et en langue française, Philippe Maeder (Repanet Suisse, Consulting Suisse Romande) décrit aux carrossiers . . . Dans un exposé très détaillé et en langue française, Philippe Maeder (Repanet Suisse, Consulting Suisse Romande) décrit aux carrossiers . . .
• . . . de la Suisse romande présents les avantages de Repanet Suisse. . . . de la Suisse romande présents les avantages de Repanet Suisse.
• «Qui ne vit pas avec son temps doit finalement subir le temps qui passe» – Enzo Santarsiero (à gauche) exprime clairement son point de vue sur l’adhésion. «Qui ne vit pas avec son temps doit finalement subir le temps qui passe» – Enzo Santarsiero (à gauche) exprime clairement son point de vue sur l’adhésion.
• Les responsables de Repanet Suisse pour le compte d’André Koch AG: Amal Tizeroual et Martin Steffen. Les responsables de Repanet Suisse pour le compte d’André Koch AG: Amal Tizeroual et Martin Steffen.
• L’équipe de Repanet Suisse a fait de son mieux pour fournir aux invités une présentation détaillée du réseau. L’équipe de Repanet Suisse a fait de son mieux pour fournir aux invités une présentation détaillée du réseau.
• Ils répondent ouvertement et honnêtement à toutes les questions, même les plus délicates (de g. à d.): Enzo Santarsiero, Martin Steffen, Thomas Nussbaum. Ils répondent ouvertement et honnêtement à toutes les questions, même les plus délicates (de g. à d.): Enzo Santarsiero, Martin Steffen, Thomas Nussbaum.
• En tant que membre de longue date de Five Star, Walter Baumann de la Carrosserie Burgdorf AG, pose de nombreuses questions au sujet du nouveau réseau. En tant que membre de longue date de Five Star, Walter Baumann de la Carrosserie Burgdorf AG, pose de nombreuses questions au sujet du nouveau réseau.
• Avec un peu de nostalgie: Marco Flückiger regrette l’esprit Five Star et porte à discussion les investissements réalisés. Avec un peu de nostalgie: Marco Flückiger regrette l’esprit Five Star et porte à discussion les investissements réalisés.
• Il plaide pour l’adhésion: Thomas Melzer d’Axalta Coating Systems Germany GmbH. Il plaide pour l’adhésion: Thomas Melzer d’Axalta Coating Systems Germany GmbH.
• Après une journée riche en informations: les équipes d’Axalta et d’André Koch AG ainsi que les carrossiers invités. Après une journée riche en informations: les équipes d’Axalta et d’André Koch AG ainsi que les carrossiers invités.
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Par Heinz Schneider (texte) et Irène Schneider (photos)

«C’est un moment historique et une étape importante qui nous réunit aujourd’hui à l’Hôtel Meilenstein» – c’est sous cette prémisse que le PDG d’André Koch AG, Enzo Santariero, a récemment souhaité la bienvenue à ses invités. Les quelque 60 personnes et représentants d’une trentaine d’entreprises de carrosserie présents étaient jusqu’ici tous membres des réseaux CUI et Five Star. Pour rappel: le 12 novembre 2021, carwing.ch avait annoncé en primeur que ces deux réseaux allaient disparaître du marché pour se replacer sous l’égide de Repanet Suisse, fondé il y a une dizaine d’années par André Koch AG.

Dans une sorte de séance de lancement à l’hôtel Meilenstein à Langenthal, il s’agissait donc de présenter le nouveau réseau Repanet Suisse de façon détaillée aux anciens partenaires de CUI et de Five-Star: «Nous sommes bien plus qu’un simple club», leur explique Enzo Santarsiero, en les invitant à rejoindre ce nouveau réseau. Presque toute l’équipe d’André Koch était présente, tout comme la tête du réseau Five Star, fondé par Axalta, représentée par Thomas Nussbaum, Roberto Leucci et Thomas Melzer (Axalta Coating Systems Germany GmbH).

«Aujourd’hui, il ne s’agit pas de peinture. Que vous travailliez avec les produits de Standox, de Cromax ou de Spies Hecker – aujourd’hui, il ne s’agit que de vous. La question est de savoir si vous voulez être bien positionné sur un marché de plus en plus difficile, améliorer votre rentabilité et rester indépendant en tant que membre de Repanet Suisse», a déclaré Enzo Santarsiero, avec sa passion habituelle. Mais il a en même temps souligné que la croissance de Repanet Suisse ne serait pas la priorité. «D’ici la fin de l’année, nous travaillerons avec 200 partenaires eu lieu des 170 que nous comptons actuellement. Néanmoins, nous ne voulons que les meilleurs des meilleurs, et il faut que ce soit vous», a-t-il ajouté.

Monsieur Santarsiero a de nouveau comparé le réseau à un centre de fitness: «Celui qui s’y abonne et n’y vas jamais ne se muscle pas. C’est exactement la même chose chez Repanet Suisse». Il faisait bien-sûr référence à tous les avantages offerts par le réseau et dont les nouveaux membres peuvent profiter activement. Il relève par exemple les contacts que le réseau entretient avec les entreprises de gestion des sinistres ou les donneurs d’ordre potentiels comme les assurances, l’industrie automobile, les sociétés de leasing et les gestionnaires de parcs automobiles. Il mentionne les nombreux conseils, formations et séminaires individuels, qui ont pour sujet la technique du débosselage, la communication ou le leadership pratique, ou encore les cours à l’intention des utilisateurs (par ex. Silver Dat3).

Et quel est le bilan des carrossiers concernés? Tout à fait positif, mais pas euphorique, comme carwing.ch a pu le constater dans un sondage représentatif réalisé le soir après la réunion de lancement. Il est clair que le visage de l’un ou l’autre des fidèles membres de Five Star (fondé en 2005) reflétait plus de soucis que de satisfaction. C’était par exemple le cas de Marco Flückiger de la Carrozzeria Moderna à Lugano: N’exprimant non seulement ses regrets au sujet de l’esprit Five Star, il évoquait aussi les investissements réalisés dans les inscriptions, les moyens publicitaires ou les pages d’accueil, qui sont désormais caducs. «Mais ces problèmes devraient pouvoir se résoudre individuellement avec le temps», a déclaré le directeur d’Axalta Suisse Thomas Nussbaum, sûr de lui à cent pour cent.