Édition pour les Romands

Conduite pour vous: Mazda CX-60 2.5L PHEV 327 AWD Takumi

La CX-60 PHEV a une allure raffinée, offre confort et espace et est le premier hybride rechargeable du constructeur.

• La CX-60 PHEV a une allure raffinée, offre confort et espace et est le premier hybride rechargeable du constructeur. La CX-60 PHEV a une allure raffinée, offre confort et espace et est le premier hybride rechargeable du constructeur.
• Un look plaisant: la CX-60 de Mazda se distingue par sa calandre typique et ses . . . Un look plaisant: la CX-60 de Mazda se distingue par sa calandre typique et ses . . .
• . . . feux arrière étroits. On le reconnait au premier coup d’œil. . . . feux arrière étroits. On le reconnait au premier coup d’œil.
• Lorsque la batterie est vide, la Mazda devrait consommer entre 8,5 à 9,5 litres d’essence. Lorsque la batterie est vide, la Mazda devrait consommer entre 8,5 à 9,5 litres d’essence.
• L’accu (type 2, Wallbox) est rechargé en deux heures et demie environ, et en huit heures et demie en mode 2 (230 V, 10 A). L’accu (type 2, Wallbox) est rechargé en deux heures et demie environ, et en huit heures et demie en mode 2 (230 V, 10 A).
• Cool et confortable: le siège et le volant se mettent automatiquement dans la position adéquate. Cool et confortable: le siège et le volant se mettent automatiquement dans la position adéquate.
• Pour les coutures du tableau de bord, les designers se sont inspirés de l’art du nouage japonais. Pour les coutures du tableau de bord, les designers se sont inspirés de l’art du nouage japonais.
• En ce qui concerne les commandes, les Japonais s’en tiennent au bouton-poussoir rotatif central. En ce qui concerne les commandes, les Japonais s’en tiennent au bouton-poussoir rotatif central.
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Par Heinz Schneider

Elle n’est pas grande. Elle est énorme, Et en plus, elle est très haute. C’est du moins l’impression qu’ont les passagers lorsqu’ils prennent place dans la voiture. A plus forte raison lorsqu’on est assis derrière le volant – avec l’imposant capot moteur dans le champ de vision – et qu’on laisse le paysage défiler devant soi en ayant l’impression d’être gâté par l’espace et la place. En fait, les dimensions de la Japonaise ne sont pas si extraordinaires. Avec près de 4,75 mètres, la voiture est précisément 17 centimètres plus grande que sa petite sœur, la CX-5.

Comprenons bien: En tant qu’hybride plug-in (PHEV), la CX-60 est disponible en quatre versions d’équipement à partir de 61 050 francs. Notre voiture de test, en version haut de gamme «Takumi», coûte 67 850 francs départ usine. Dans ce prix sont inclus l’affichage tête haute, les sièges en cuir nappa climatisés et réglables électriquement. Ce modèle est toutefois muni de quelques gadgets, ce qui fait grimper son prix final à près de 75 000 francs.

Et il y en a quelques-uns que certains aimeraient bien avoir – par exemple le toit ouvrant panoramique électrique à 1300 francs, la peinture métallisée (1200.–) ou le pack d’options «Convenience & Sound» à 2800 francs avec, entre autres, la station de recharge pour smartphone, le système surround, le hayon électrique, les vitres arrière teintées ou les vide-poches de porte éclairés. Également à bord de «notre» voiture: la «Driver-Assistance» pour 1600 francs (qui comprend notamment la boîte automatique adaptative, le frein d’urgence en marche arrière et l’assistant de conduite dans les embouteillages).

Nous prenons place derrière le volant. Première impression: tout y est agencé de manière chic et pratique, la finition est au top, tous les matériaux semblent de grande qualité. Certains nous surprennent un peu, comme par exemple, le « tissue » du tableau de bord, qui s’inspire du «Musaba» – un art du nouage japonais (voir galerie de photos). Une autre idée de design intérieur se réfère au «Kaichô»: Ici, différents matériaux et textures comme le bois d’érable, le cuir nappa ainsi que des textiles japonais à la finition unique sont mélangés à des éléments chromés.

Ce qui unit les quatre versions d’équipement de la CX-60 PHEV est la propulsion hybride. Son système se compose d’un moteur essence quatre cylindres à injection directe de 191 ch, associé à un moteur synchrone AC de 175 ch avec une batterie lithium-ion de 17,8 kWh. Ainsi équipée, y compris la traction intégrale (AWD) de série et la boîte automatique à huit rapports – la PHEV devient le modèle de série le plus fort du constructeur japonais, avec une puissance système de 327 ch.

Voici ce que l’on ressent sur la route: en mode hybride, les moteurs fonctionnent la plupart du temps ensemble de manière propre. Lors de l’accélération tout comme au démarrage électrique, la propulsion de la Mazda est rapide, sans bruit gênant – même si le moteur électrique n’est pas inaudible lorsqu’il tourne. La boîte automatique à huit rapports (développé en interne) sans convertisseur de couple est d’un bon soutien: elle change de rapport même en mode électrique via un embrayage d’entrée multidisque – un processus qui est perceptible par de légères secousses en ville ou lorsqu’on ralentit devant un embouteillage.

Pendant notre phase d’essai, nous nous sommes concentrés sur la conduite en mode électrique chaque fois que cela était possible. Résultat: la Mazda a consommé en moyenne 5,6 litres d’essence et 27,8 kWh – des valeurs acceptables pour une voiture qui pèse deux tonnes. Nous n’avons pas atteint l’autonomie électrique de 63 kilomètres indiquée par le constructeur. Ceci ne devrait étonner personne étant donné la situation géographique de notre base d’attache à 1400 mètres d’altitude et le froid de décembre qui régnait durant le test.

Avec le modèle PHEV, les travaux sur la gamme CX-60 ne sont pas encore terminés. Sous peu, le SUV sera également disponible avec un tout nouveau moteur diesel six cylindres en ligne, d’une cylindrée de 3,3 litres, qui sera associé à une boîte automatique à huit rapports. Nous pourrons découvrir le nouveau modèle vers fin mars 2023 à l’occasion d’un premier essai en Espagne.