Édition pour les Romands

Valhalla : La révolution hybride d’Aston Martin

 

La combinaison de la technologie de la Formule 1, de l’art du design et de la dynamique de conduite porte un nom : Aston Martin Valhalla. Ce supercar hybride à moteur central n’est pas qu’une simple voiture, c’est un manifeste d’excellence technique. Avec le Valhalla, Aston Martin ouvre une nouvelle voie : électrique, efficace et exaltante. Un hybride rechargeable comme tremplin vers l’avenir ? Aston Martin répond : « Oui, sans hésiter ! ».

 

Au cœur du Valhalla, un V8 biturbo de 4,0 litres rugit avec une puissance brute de 828 chevaux. Mais pourquoi s’arrêter là ? Trois moteurs électriques s’ajoutent à l’ensemble, portant la puissance totale à 1 079 chevaux. Avec une accélération de 0 à 100 km/h en seulement 2,5 secondes et une vitesse de pointe de 350 km/h, le Valhalla prouve que la mobilité électrique ne connaît aucun compromis.

 

La boîte de vitesses à double embrayage à huit rapports, équipée d’un différentiel électronique sur l’essieu arrière, garantit des changements de vitesse précis et une traction optimale. Et comme si cela ne suffisait pas : l’aérodynamisme actif, inspiré de la très exclusive Valkyrie, génère plus de 600 kg d’appui à 240 km/h. Pour le conducteur, cela se traduit par une adhérence qui donne l’impression d’avoir passé un pacte avec la route.

 

Le Valhalla n’est pas une voiture pour les âmes introverties. Avec une carrosserie en fibre de carbone apparente et des portes en élytre, c’est un véritable aimant à regards – que ce soit dans un garage ou sur un circuit. Mais derrière cette allure se cache une substance. Des éléments aérodynamiques actifs et des tunnels Venturi dirigent l’air avec une précision redoutable autour et à travers le véhicule, améliorant à la fois l’appui et l’efficacité.

 

À l’intérieur, l’exigence technologique se reflète dans un cockpit épuré, équipé de sièges en fibre de carbone et d’un écran central dédié au conducteur. Aucun doute : cette voiture est conçue pour son pilote – et non pour son passager. L’interface homme-machine (HMI) ne se contente pas de montrer les capacités du système hybride, elle fournit aussi en temps réel les données cruciales pour la conduite sur circuit.

 

Si l’efficacité était une forme d’art, Aston Martin aurait créé un chef-d’œuvre avec le Valhalla. Le châssis monocoque en carbone ne pèse que 74 kg, mais offre une rigidité impressionnante, base d’une dynamique extraordinaire. Des amortisseurs adaptatifs et un système de Torque Vectoring équilibrent parfaitement les exigences de la piste et du confort quotidien. Même le système de freinage, combinant des disques en carbone-céramique de Brembo et une technologie Brake-by-Wire, semble sortir d’un film de science-fiction.

 

Conclusion : le Valhalla est bien plus qu’un véhicule, c’est une déclaration de guerre. Avec ce supercar, Aston Martin montre qu’il est possible d’allier tradition et innovation sans faire de compromis. Limitée à 999 exemplaires, cette œuvre d’art sur roues ne sera accessible qu’à une poignée de passionnés.

Aston Martin n’a pas encore annoncé de prix officiel, mais les spéculations parlent d’un montant avoisinant les 800 000 francs suisses. Les premières livraisons sont prévues pour 2025. Pour ceux qui veulent un aperçu de l’avenir des supercars, Valhalla offre un voyage vers le paradis – un paradis à couper le souffle.

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