Édition pour les Romands

AMAG: le nouveau centre de formation sera déjà opérationnel dès 2024

 

AMAG Import AG construit une nouvelle Adademy à Lupfig (AG), qui remplacera le centre de formation de Schinznach-Bad, vieux de 34 ans. Du fait que le bâtiment actuel ne répond plus aux exigences et que les partenaires de la marque doivent pouvoir bénéficier aussi à l’avenir d’un environnement d’apprentissage optimal, l’entreprise a décidé en début de l’année 2020 de construire un nouvel édifice. Si tout se passe comme prévu, il devrait être mis en service début 2024.

 

L’Academy tient lieu de centre de compétence pour la formation et la formation continue. Il est destiné aux collaborateurs de tous les partenaires commerciaux et de service. Chaque année, environ 9000 participants de différentes entreprises affiliées à la marque y sont formés. Il revêt une importance stratégique pour AMAG, car l’industrie automobile est effectivement à la veille d’une grande mutation: les nouvelles technologies de propulsion, la mise en réseau numérique et les nouvelles formes de mobilité à des intervalles de plus en plus courts mettent les collaborateurs au défi.

 

Le nouveau centre de quatre étages sera érigé à Lupfig. Il se composera d’un sous-sol, d’un rez-de-chaussée et de deux étages supérieurs, où seront aménagés un grand bureau offrant vingt postes de travail ainsi que plusieurs salles de séminaires, dont 5 pour la formation, 3 pour des groupes et 8 pour des cours pratiques et théoriques. Le sous-sol sera réservé aux places de parc, aux lieux de stockage et au local technique.

 

En plus de l’Academy, un nouveau centre technique «Technical Service Center» (TSC) sera construit dans le même complexe immobilier. Il remplacera les anciens locaux qui se trouvent encore aujourd’hui à Schinznach-Bad. Le TSC permettra de résoudre des problèmes techniques complexes sur certains véhicules particuliers. Les nouvelles technologies, comme la mobilité électrique, les technologies d’éclairage, les systèmes d’assistance ou encore les voitures autopilotées nécessitent une infrastructure moderne ad-hoc.

Rédaction: Margrit Balmer