Édition pour les Romands

Bosses, pare-chocs et pression – la folle journée de Robin aux WorldSkills

Une visite dans l’atelier de Robin, c’est comme assister à un véritable spectacle. Au milieu d’outils scintillants et de pièces métalliques, Robin est au centre, concentré et plein d’énergie.

• Une visite dans l’atelier de Robin, c’est comme assister à un véritable spectacle. Au milieu d’outils scintillants et de pièces métalliques, Robin est au centre, concentré et plein d’énergie. Une visite dans l’atelier de Robin, c’est comme assister à un véritable spectacle. Au milieu d’outils scintillants et de pièces métalliques, Robin est au centre, concentré et plein d’énergie.
• Avec une main experte, Robin travaille sur le nouveau panneau latéral. Chaque geste doit être parfait – ici, la précision est de mise. Un regard de travers ? Pas chez lui ! Avec une main experte, Robin travaille sur le nouveau panneau latéral. Chaque geste doit être parfait – ici, la précision est de mise. Un regard de travers ? Pas chez lui !
• À peine le panneau est-il en place que les experts arrivent. Leurs yeux de lynx scrutent chaque détail. Mais Robin reste calme – il sait que son travail est impeccable. À peine le panneau est-il en place que les experts arrivent. Leurs yeux de lynx scrutent chaque détail. Mais Robin reste calme – il sait que son travail est impeccable.
• Après la pause déjeuner, Robin reprend : au programme, la réparation du pare-chocs en plastique. Avec des gestes précis, il redonne forme à la pièce comme si de rien n’était. Après la pause déjeuner, Robin reprend : au programme, la réparation du pare-chocs en plastique. Avec des gestes précis, il redonne forme à la pièce comme si de rien n’était.
•  

Par Dennis Mario Schneider

Le deuxième jour des WorldSkills à Lyon a commencé, et ça bouge ! Notre carrossier-tôlier Robin Taramarcaz est au taquet aujourd’hui. Hier, il avait démonté l’ancien panneau latéral, et aujourd’hui, il doit installer le nouveau – un travail de précision qui demande une concentration totale. Mais ce n’était que le début : il devait encore s’occuper d’un capot en aluminium pour en retirer les bosses, ainsi que réparer un pare-chocs arrière en plastique.

Le planning ? Ah, il a déjà été chamboulé hier. Le démarrage a été retardé pour diverses raisons, et le pauvre participant danois a dû travailler jusqu’à 19 heures. L’ambiance est donc tendue, mais Robin reste cool. Après tout, ce n’est pas seulement une question de travail manuel, il faut aussi beaucoup de doigté – et un peu d’improvisation ne fait jamais de mal.