Édition pour les Romands

Conduite pour vous : Skoda Enyaq RS 85X 4x4

Un super look : Enyaq RS avec calandre éclairée, pièces rapportées noires et peinture flamboyante « Mamba Green », disponible pour 570 francs.

• Un super look : Enyaq RS avec calandre éclairée, pièces rapportées noires et peinture flamboyante « Mamba Green », disponible pour 570 francs. Un super look : Enyaq RS avec calandre éclairée, pièces rapportées noires et peinture flamboyante « Mamba Green », disponible pour 570 francs.
• L’avant, appelé « Cristal Face » se caractérise par des nervures verticales et une barre horizontale. Elle s’illumine grâce à 131 petites lampes LED. L’avant, appelé « Cristal Face » se caractérise par des nervures verticales et une barre horizontale. Elle s’illumine grâce à 131 petites lampes LED.
• La Skoda n’est disponible qu’avec une batterie de 82 kWh (77 kWh nets). Ainsi, après une charge rapide (135 kW), elle est à nouveau en forme à 80% en 30 minutes environ. La Skoda n’est disponible qu’avec une batterie de 82 kWh (77 kWh nets). Ainsi, après une charge rapide (135 kW), elle est à nouveau en forme à 80% en 30 minutes environ.
• Faible niveau sonore : la conduite de la Skoda Enyaq est remarquablement silencieuse – grâce aux vitres latérales renforcées et à un matériau d’isolation efficace. Faible niveau sonore : la conduite de la Skoda Enyaq est remarquablement silencieuse – grâce aux vitres latérales renforcées et à un matériau d’isolation efficace.
• Un peu de carbone, des surpiqûres, un éclairage d’ambiance, un volant perforé, des sièges sport et d’autres insignes typiques de la RS : Chaque occupant se sent bien ici. Un peu de carbone, des surpiqûres, un éclairage d’ambiance, un volant perforé, des sièges sport et d’autres insignes typiques de la RS : Chaque occupant se sent bien ici.
• Au moins deux personnes sont confortablement assises à l’arrière. L’ambiance y est excellente, comme aux places avant. Au moins deux personnes sont confortablement assises à l’arrière. L’ambiance y est excellente, comme aux places avant.
• L’accoudoir à l’arrière, qui se déploie à partir des coussins de siège, est muni des porte-gobelets et d’espaces de rangement. L’accoudoir à l’arrière, qui se déploie à partir des coussins de siège, est muni des porte-gobelets et d’espaces de rangement.
• S’il s’agit d’une RS, cela doit se voir : Le « RS » brodé sur les appuie-têtes montre qu’il s’agit du modèle Enyaq le plus puissant. S’il s’agit d’une RS, cela doit se voir : Le « RS » brodé sur les appuie-têtes montre qu’il s’agit du modèle Enyaq le plus puissant.
• Le petit sélecteur de vitesses automatique se trouve sur la console centrale. Le petit sélecteur de vitesses automatique se trouve sur la console centrale.
• Un passage dans les dossiers de siège arrière et un espace de rangement de 585 à 1710 litres : le coffre peut être adapté de manière optimale aux besoins individuels. Un passage dans les dossiers de siège arrière et un espace de rangement de 585 à 1710 litres : le coffre peut être adapté de manière optimale aux besoins individuels.
• Toujours bien appréciées : les solutions dites « Simply Clever » – sous forme d’un parapluie dans la portière ou . . . Toujours bien appréciées : les solutions dites « Simply Clever » – sous forme d’un parapluie dans la portière ou . . .
• . . . d’un grattoir à glace intégré dans la porte du hayon. . . . d’un grattoir à glace intégré dans la porte du hayon.
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Familiale, sportive, dynamique, puissante, confortable, très spacieuse, maniable et grande routière – ce sont les qualificatifs qui conviennent à la Skoda Enyaq RS. A côté de l’Enyaq Coupé RS issu de la puissante famille RS, ce deuxième modèle purement électrique à batterie est un véhicule très polyvalent. Son châssis sport de série ferme, mais confortable, adhère bien à la route. Muni d’une transmission intégrale, il offre une excellente traction et ne peut être déstabilisé dans les virages que par la force. De plus, avec sa puissance de 340 ch (545 Nm), la Tchèque peut se mesurer en termes d’accélération à des rivales encore plus puissantes – si souhaité, et si ses réserves d’énergie le permettent.

Malheureusement, cela a un prix. La « RS » coûte 68 000 francs. Si l’on ajoute quelques gadgets souhaitables comme le toit ouvrant panoramique pour 1020 francs, la peinture extérieure flamboyante « Mamba Green » de notre voiture de test (570.-), les jantes en aluminium 21 pouces « Vision RS » (890.-) ou le pack Maxx (e.a. siège conducteur avec fonction massage, sièges avant électriques avec mémoire, volant chauffant en cuir à trois branches avec palettes) pour 3160 francs, nous arrivons à plus de 74 000 francs. Pour les gens normaux, c’est presque une électrocution.

En revanche, les détails suivants sont déjà de série départ usine : Entre autres, les feux arrière à LED avec clignotants dynamiques, l’éclairage de la calandre « Crystal Face », l’éclairage de virage, la pompe à chaleur bien utile lorsque les températures extérieures sont basses, ainsi que tous les systèmes d’assistance à la conduite plus ou moins utiles.

Font également partie de l’offre : le choix du profil de conduite (Driving Mode Selection), le siège conducteur à réglage électrique avec fonction mémoire, les stores pare-soleil aux vitres latérales arrière, la caméra de recul, le régulateur de vitesse avec contrôle de distance, l’affichage tête haute, l’éclairage d’ambiance multicolore ainsi qu’une faible proportion de plastiques durs. Tout cela apparaît dans un look plaisant, notamment grâce aux jolies surpiqûres et aux fibres synthétiques rappelant l’alcantara sur le tableau de bord et les panneaux de porte. A quoi s’ajoutent des baguettes au look carbone et chrome. Tout cela a du style.

Les deux moteurs électriques – un sur chaque essieu – fournissent 340 ch et 545 Newtons-mètres. Il est donc logique que l’Enyaq soit rapide. Mais qu’en est-il de l’autonomie ? Pour en avoir le cœur net, nous avons comparé ses valeurs de consommation d’énergie avec celles du modèle précédent . . .

Et avons constaté ce qui suit : La consommation moyenne du modèle antérieur n’a jamais été inférieure à 21,5 kWh. Son successeur fait mieux. En ville, autour de Coire, il a consommé 16 kWh – contre 20 kWh dans l’Oberland grison. Toutefois, nous sommes loin d’avoir atteint l’autonomie annoncée (WLTP) de 423 à 537 kilomètres. La raison en est que nous avons testé la voiture durant les mois de novembre et de décembre, par un froid presque glacial, en ayant activé le chauffage de l’habitacle, du volant et des sièges. Les batteries de voiture n’aiment pas ça. Ce qui veut dire : l’ordinateur n’affichait en permanence qu’une autonomie d’environ 350 kilomètres. D’ailleurs : nous avons rechargé la batterie Skoda exclusivement pendant la nuit sur la Wallbox de la maison avec du courant alternatif (11 kW). Il nous a fallu environ sept heures pour atteindre le niveau de charge « complet ». On vit bien avec ça – très bien même.