Édition pour les Romands

Conduite pour vous : Cupra Terramar VZ 2.0 TSI 4Drive

L’avant aux lignes bien marquées arbore la nouvelle signature lumineuse à trois triangles en « Matrix LED » ainsi que le logo Cupra.

• L’avant aux lignes bien marquées arbore la nouvelle signature lumineuse à trois triangles en « Matrix LED » ainsi que le logo Cupra. L’avant aux lignes bien marquées arbore la nouvelle signature lumineuse à trois triangles en « Matrix LED » ainsi que le logo Cupra.
• La couleur extérieure « Graphene Grey » et les jantes aluminium de 20 pouces du modèle testé sont superbes, mais coûtent respectivement 1250 et 1050 francs supplémentaires. La couleur extérieure « Graphene Grey » et les jantes aluminium de 20 pouces du modèle testé sont superbes, mais coûtent respectivement 1250 et 1050 francs supplémentaires.
• Le logo Cupra central et le nom Terramar brillent sur la large partie arrière. A cela s’ajoutent le diffuseur et un becquet de toit. Le logo Cupra central et le nom Terramar brillent sur la large partie arrière. A cela s’ajoutent le diffuseur et un becquet de toit.
• Les systèmes d’assistance comprennent le régulateur de vitesse adaptatif, mais un agaçant Les systèmes d’assistance comprennent le régulateur de vitesse adaptatif, mais un agaçant
• Ambiance chaleureuse et volant multifonctions avec palettes de changement de vitesse manuel. Ambiance chaleureuse et volant multifonctions avec palettes de changement de vitesse manuel.
• Tradition de la marque : également dans la Terramar, les nombreuses garnitures et commutateurs sont de couleur « cuivre ». Tradition de la marque : également dans la Terramar, les nombreuses garnitures et commutateurs sont de couleur « cuivre ».
• Le logo Cupra dans les appuie-têtes et les coutures sont de couleur cuivre. Les sièges sport sont confortables et offrent un parfait maintien. Le logo Cupra dans les appuie-têtes et les coutures sont de couleur cuivre. Les sièges sport sont confortables et offrent un parfait maintien.
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Si j’étais ecclésiastique ou prêtre, je conseillerais aux dirigeants du groupe VW de remercier le bon Dieu deux fois par jour à genoux de leur avoir accordé la filiale Cupra. Car celle-ci a du prestige, du succès – et rapporte gros. Tout de qui manque actuellement aux gens de Wolfsburg.

Tout cela n’est bien sûr pas le fruit du hasard. Car pour gagner cette place au sein du groupe VW, les Espagnols ont travaillé dur – notamment en créant des voitures sportives telles que la Formentor ou la Leon. Cela leur a permis de connaître une croissance remarquable en sept ans. Même en Suisse, on a l’impression d’être dépassé par une Cupra toutes les deux minutes, ou d’en croiser une.

La nouvelle Terramar, que nous avons pu tester longuement, devrait permettre de maintenir cette dynamique commerciale. Conçu et développé à Barcelone, construit dans l’usine Audi de Györ en Hongrie et vendu en Suisse à partir de 59 750 francs, ce SUV sportif est une véritable fusée. Comme toutes les Cupra, mais aussi en termes monétaires. Divers gadgets tels que le système audio Sennheiser à 650 francs (dont les basses sont si puissantes que le rétroviseur intérieur s’incline vers le bas), les étriers de frein performants (Akebono) à 2600 francs, le toit panoramique électrique en verre (Skyline) à 1250 francs ou l’intérieur « Moon Light » à 1050 francs font grimper le prix de notre voiture d’essai à 71 403 francs. Ce qui n’est pas vraiment une affaire.

La Cupra ne tient d’ailleurs pas à être classée comme telle, mais plutôt comme SUV sportif pour ceux qui aiment les voitures spéciales et qui sont prêts à débourser une certaine somme. Par exemple pour son groupe motopropulseur, qui se compose d’un puissant moteur turbo deux litres, d’une boîte de vitesses directe à 7 rapports et d’une transmission intégrale qui assure la tenue de route en toute circonstance. Même si l’on appuie un peu trop fort sur l’accélérateur.

C’est en effet ce que tout le monde aime faire au volant de cette voiture sportive - et même souvent. Elle s’élance à toute allure, grâce notamment à sa dynamique de conduite et à son châssis sport de série (DCC). Ce dernier permet de négocier les virages avec brio et peut être réglé à volonté sur « confort » avec une suspension agréable ou sur « sport ». Dans ce mode, un bruit artificiel est généré, que certains n’apprécient pas forcément. Pour nous, c’est un gadget cool à imiter.

Le moteur turbo essence de 265 ch de la Terramar réagit spontanément à chaque mouvement du pied droit. Rien à voir avec l’ancien moteur à combustion d’une Macan de Porsche (et cela même si la Cupra partage la technologie et la plateforme avec l’Audi Q3 et le VW Tiguan).

Nous montons à bord du véhicule – et alléluia, la lumière se fait. En effet, les feux avant et arrière s’allument. Le lettrage Cupra est projeté en avant, par exemple sur un mur ou une porte de garage, tandis que le logo de la marque est projeté latéralement sur le sol. De plus, on notera le cockpit numérique avec système d’info-divertissement de 12,9 pouces, les logos Cupra dans les appuie-têtes, les sièges confortables avec surpiqûres couleur cuivre, l’encadrement des buses d’aération, les baguettes de porte et les inserts décoratifs dans la même teinte. Les panneaux de porte rétroéclairés contribuent également à l’ambiance harmonieuse. Apple Car Play et Android Auto sont de série, et les sièges arrière peuvent être reculés de 15 centimètres.

Ah oui, nous devrions encore mentionner la consommation. Sur l’autoroute, à 120 km/h, notre voiture d’essai a consommé en moyenne 7,1 litres d’essence. En montant dans les montagnes à vive allure, la consommation est passée à 10,5 litres. Ce qui n’est pas surprenant : la puissance demande de l’énergie. Point final.