Édition pour les Romands

«Akzo Nobel»: plus de précisions sur le nouvel apprêt

 

«Akzo Nobel» a récemment organisé en avant-première une présentation de la nouvelle génération de ses apprêts. La démonstration plus détaillée de ce produit a eu lieu au centre de formation d’Elixhausen (A), près de Salzbourg (carwing en a parlé sous le titre «En avril: Akzo Nobel lance un nouvel apprêt»). La marque Sikkens vend cet apprêt sous le nom «Autosurfacer Optima», alors que chez Lesonal, on le trouve sous le nom de «2K Ultimate Filler».

 

Patrick Bourguignon (directeur Automotive and Specialty Coatings) chez Akzo Nobel déclare avec conviction: «Dans la situation économique actuelle, l’augmentation des coûts représente une des plus grandes menaces pour les entreprises de peinture». Selon Bourguignon, les nouveaux apprêts ont donc été développés pour aider les clients à effectuer les réparations plus rapidement tout en relevant certains des plus grands défis auxquels ils sont confrontés.

 

Grâce à un séchage à température ambiante et un durcissement par infrarouge ou au four à 60°, les nouveaux apprêts permettent d’augmenter la productivité des ateliers de peinture. Les cycles de travail sont raccourcis et l’on gagne de l’espace dans la cabine de peinture. Cela réduit les coûts énergétiques de 85* pour cent. En combinaison avec la méthode d’application «one-stop», le processus de séchage par infrarouge peut être raccourci de 80* pour cent. L’entreprise peut ainsi accepter davantage de commandes standard.

 

Néanmoins, les avantages ne s’arrêtent pas là, comme le sait Rob Lagendijk (Directeur de la gestion des produits): «En plus des économies de temps et d’énergie, chaque réparation nécessite moins de peinture. Cela signifie moins de déchets, et aussi un temps de ponçage réduit. On réalise ainsi des réparations beaucoup plus durables», dit-il. Parmi les autres points forts, on peut citer une meilleure protection contre la corrosion. Un traitement préalable long et fastidieux est inutile. Les techniciens peuvent commencer le travail immédiatement, ce qui réduit le coût total de la réparation.

 

* Comparé à un apprêt traditionnel, qui nécessite un traitement préalable et un durcissement à 60 °C.

Rédaction: Margrit Balmer

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